Ikevorkian

Autrice, biographe et créatrice du concept artistique pluridisciplinaire

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Combien de Malices

 

Combien de caresses

Combien d’ivresse

Combien de tendresse

Tu me laisses

Combien de bonheur

...

17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...

17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...

17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...

iRoman : Devlet, Justice et Réparation

En ce 8 janvier 1911, c’est la réforme de l’École des Langues orientales que vous allez défendre. À M. le Ministre de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts, vous écrivez une démonstration implacable au sujet des chaires magistrales, dont la chaire d’arménien, vacante depuis le 16 janvier 1906, du fait de la démission de M. Antoine Meillet. Une situation « non pas anormale mais quelque peu insolite » dites-vous, expliquant que « si cette situation même n’avait son explication dans un vœu unanimement émis, sur la proposition de mon éminent prédécesseur, M. Barbier de Meynard par le Conseil de perfectionnement de l’école, en sa séance du 9 février 1906, vœu dont la teneur suit : Que la chaire de langue arménienne soit transformée en cours complémentaire. » 

Des années plus tard, j’ai eu l’occasion de vous demander, Monsieur Boyer, pour quelle raison vous aviez agi de cette façon envers moi en 1922. Vous avez répondu : « Je suis sûr que vous auriez accepté de travailler, si je vous avais demandé, à des conditions moins avantageuses que vos collègues. »

"C’est à la suite d’une demande que je vous ai adressée, que je suis entré comme répétiteur à l’École des Langues orientales au début de la Grande Guerre. D’autres candidats s’étaient présentés, mais M. Clément Huart, plus tard membre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, qui connaissait profondément la langue turque, après avoir examiné tous ces candidats, c’est moi qu’il a choisi parmi eux. "

M. Portalier était un professeur de mathématiques du lycée Henri IV, qui habitait un étage au-dessous de ma chambre, sur le même escalier. J’avais eu très peu d’occasions d’échanger quelques mots avec lui. Cette simple question qu’il me posa, ne pouvait éveiller aucun soupçon dans l’esprit de n’importe qui que ce soit, mais comme depuis quelques temps on m’ennuyait de toute façon, je crus voir un rapport entre cette rencontre et la négligence du boulanger, d’autant plus que le proviseur du lycée Henri IV où enseignait M. Portalier, était M. Dan, l’un de vos amis, Monsieur Boyer.