Comme les dirigeants du monde, eux-mêmes s’effrayant devant cette situation, ils font des efforts désespérés pour sauver la paix, mais faute d’un principe moral qui s’imposerait à tous, ils s’accrochent à la vieille idée : Si vis pacem, para bellum, idée qui n’est plus qu’un faible expédient en présence des grands peuples et des grandes techniques modernes.