... mais lorsque je commençai à renseigner mon dossier de naturalisation, vous me proposâtes un projet de « témoignage de ma complète estime », dans lequel vous certifiiez que j’occupais les fonctions de répétiteur de turc...
Combien de Malices
Combien de caresses
Combien d’ivresse
Combien de tendresse
Tu me laisses
Combien de bonheur
...
17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...
17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...
17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...
... mais lorsque je commençai à renseigner mon dossier de naturalisation, vous me proposâtes un projet de « témoignage de ma complète estime », dans lequel vous certifiiez que j’occupais les fonctions de répétiteur de turc...
L’Écureuil et le loup. Enfin, il y a la nature avec ses ressources inépuisables de joies et d’émotions : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève tous les jours. Cette même nature enivre jusqu’à la petite mendiante qui, au milieu de sa propre faim et des misères des siens, mêle ses chants à ses pleurs : C’est pour moi que je chante et pour eux que je pleure.
L’étau s’était resserré à partir de 1925. Comme un signe, cette année-là le journaliste Albert Londres publiait « Chez les fous », dans lequel il accusait : « La loi de 38 n’a pas pour base l’idée de soigner et de guérir des hommes atteints d’une maladie mentale, mais la crainte que ces hommes inspirent à la société. C’est une loi de débarras. La loi de 1838, en déclarant le psychiatre infaillible et tout-puissant, permet les internements arbitraires et en facilite les tentatives ; On enferme ceux qui gênent leur entourage ; Comment savoir qu’un fou n’est plus fou puisqu’on ne le soigne pas ; Sur quatre-vingt-mille internés, cinquante-mille pourraient être libres sans danger pour eux ni pour la société. On les a mis là parce qu’il n’y avait pas d’autre endroit et que c’était l’habitude. On n’a pas cherché à les guérir, mais à les boucler. »
Grâce à Monsieur Franklin-Bouillon, mandaté par M. Aristide Briand, Mustafa Kemal avait réussi : « La Turquie aux Turcs », où « Un Turc vaut tout l’univers »