Ikevorkian

Chapitre 15. Libération de l’asile

Libération de l'asile

Mes biens ainsi vendus, à ma libération de l’asile, j’avais demandé à M. Léon Beaulieux, le secrétaire de l’école, de m’autoriser, sur votre ordre, Monsieur Boyer, d’emprunter de temps en temps des livres à la bibliothèque de l’école, comme en ont le droit les anciens élèves et membres enseignants. Je sais que l’École des Langues était très pauvre en matière de livres orientaux, mais tout de même on pouvait en tirer profit à un certain point.