Je puis dire aujourd’hui que mon emploi a été la cause de mon aliénation, et en quelque sorte la cause de mon maintien dans l’asile. En 1922, l’accord Franklin-Bouillon scellait un nouveau départ pour l’amitié franco-turque et j’en payais le prix.
Combien de Malices
Combien de caresses
Combien d’ivresse
Combien de tendresse
Tu me laisses
Combien de bonheur
...
17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...
17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...
17 Mars 2020. Le confinement est décrété en Finistère, conséquence du Grand Virus planétaire. L’autrice a emménagé au bout du monde il y a un an, pour écrire. Ce printemps si singulier, est l’occasion pour elle, de se...
Je puis dire aujourd’hui que mon emploi a été la cause de mon aliénation, et en quelque sorte la cause de mon maintien dans l’asile. En 1922, l’accord Franklin-Bouillon scellait un nouveau départ pour l’amitié franco-turque et j’en payais le prix.
En 1922, vous qui étiez l’administrateur de l’école et mon professeur de russe, vous avez formé le projet de me renvoyer à la fin d’avril et vous avez agi d’une façon bizarre. (...) J’appris un jour qu’Aram Andonian avait été recruté par les services de la censure pour effectuer la même tâche que moi, ce qui lui avait permis d’être au cœur de l’Histoire comme je le fus, et d’en référer au patriarche des Arméniens de Constantinople.
Le mouvement arménophile s’installait. M. Archag Tchobanian, secrétaire du Comité arménien à Paris, fut l’artisan de ce mouvement et œuvra sans relâche pour la cause des Arméniens. En 1896, il avait publié : « Les Massacres d’Arménie, témoignages des victimes », préfacé par Georges Clémenceau, au sujet duquel M. Pierre Quillard écrivît que cet ouvrage « contribua singulièrement à secouer la torpeur française. »
Le 9 juillet 1916, Frédéric Macler, mandaté par S.E. Boghos Nubar Pacha, diplomate et philanthrope arménien, vous convainquait d’accorder votre adhésion au comité France-Arménie dont il avait été décidé de sa création, au sein des Amitiés franco-étrangères. France-Arménie s’additionnait aux autres sections : France-Grande-Bretagne, France-Russie, France-États-Unis, France-Pays-Bas, France-Amérique-Latine. Le 24 août 1917, l’association France-Arménie avait préparé cette note, destinée aux instituteurs, chargés de cours et répétiteurs