C’est à ce moment-là, que « L’Oublié », le roman de Pierre Benoît fut publié. Après La France, cet auteur qui avait pourtant reçu un prix de la Société des Gens De Lettres, trahit l’Arménie et le peuple dont je suis issu. Cet écrivain que je considérais parmi les meilleurs de l’époque, était parvenu à m’anéantir.